Sigurd : La politique des pirates

Aventure : Pokemon Go

Oyé brave paysans ! Bon, je n'ai pas commencé ce jeu, j'ai pas les machineries prévus pour. Mais les planches c'est aussi pour rêver, non ?

Les trois capitaines !

Hoy, j'ai l'impression de ne pas avoir vu le temps passer sans vous !
Bon, l'oiseau est un peu en suspens, j'ai du rendre une version pas satisfaisante, du coup je bosserai lorsque j'aurais une table lumineuse.
Mais vous, êtes là pour autre chose, hein ? Vous êtes là parce que vous êtes tomber sur moi comme par hasard !

Et comme par hasard, je mets à jour l'aventure des Trois Capitaines !

Pour avoir accès au début de l'aventure, c'est ici : http://capitainesigurd.blogspot.fr/2015/06/les-trois-capitaines-introduction-1.html

5ème planche, des trois capitaines !

Merci au deuxième "M" de "dégommer" qui s'est barré avec le bateau.

L'oiseau : La réflexion d'un oiseau

Bonjour bande de rats mutants ! J'vous avait parlé de l'Oiseau ? Non ! Pas le perroquet que je veux m'acheter pour être un vrai pirate, mais bel et bien le court métrage étudiant dont je fais les dessins !

Merde, j'ai l'impression d'avoir perdu du monde du coup…Bon promis, je ferais des photos de mon perroquet, mais d'abord on va parler de la première étape du projet :

La réflexion, une étape super-importante ! 

La réflexion, étape maîtresse

Créer un film nécessite beaucoup de temps. Que ce soit pour un film animé à l'aide d'images ou pour un film en prise de vue réelle - vous savez, avec les acteurs (et actrices) directement filmés et maquillés au possible !

Bref, créer un film prend beaucoup de temps, quoique l'on fasse, il faut savoir précisément ce que l'on veut.

Ici, je ne vais parler que du film d'animation, m'en voulez pas mais j'en ai rien à battre des autres types de films !

Avant, un peu de théorie !

Un film traditionnel comporte un certains nombre d'images. Vous savez, le fameux « 24 images par seconde ». Bah, pour un dessin animé, c'est pratiquement identique.

Il faut savoir que lorsque l'on tourne avec son super smartphone – assorti de sa perche à selfie, heureusement ! - il capture 24 « photographies » par secondes. Ses 24 photos (par secondes) sont ensuite assemblés les unes à la suite des autres, qui forme une seconde sur votre vidéo.

Lorsque la vidéo est jouée, les images défilent à toute vitesse et nous percevons une image fluide.

Vous voyez où je veux en venir ?
Sur le dessin animé le principe est identique ! Ainsi, si on veut se rapprocher au maximum du cinéma traditionnel, il faudrait reproduire une image 24 fois pour avoir seulement une seconde ! Ainsi, si votre personnage marche, il faudra faire 24 fois le dessin d'un personnage qui marche avec à chaque dessin de léger changements.

C'est clairement très long, vous ne trouvez pas ?

Imaginez qu'on vient de faire une séquence que l'on vient de rater. Le personnage ne devait pas porter de tricorne à cet instant. Bah, va falloir tout refaire et vous aurez tous l'air d'un con ! Et maintenant on essaye de travailler sur une séquence bien compliquée. Chaque personnage fait une action bien définie. Et ben, on se laisse pas démonter et on prévoit tout en avance.

Voilà, c'est là ou je voulais en venir, la réflexion est quelque chose de très important, ne pas en faire surtout pour un film d'animation est clairement une perte de temps.

Pourquoi je vous en parle maintenant ? Car j'ai des tas de chose à raconter sur l'oiseau.

RÉFLEXIONS SUR L'OISEAU

Le court métrage doit faire une minute, et ça tombe bien, j'ai pas l'intention d'en faire plus. Je me limite à 8 images par secondes, on perd en fluidité mais je gagne un temps précieux en plus, c'était prévu depuis le début du projet.

Tout film commence par un scénario, celui de l'oiseau ne fait qu'une page :

Il n'est pas parfait – certes – mais il a des qualités, que l'on doit - en tant que directeur artistique - de souligner. Avec j'ai le découpage technique je ne m'étends pas dessus aujourd'hui, mais j'vous en parlerai prochainement, promis.

On va donc s'occuper de lister les choses les plus utiles. C'est un film d'animation qui se déroule dans l'ère victorienne, donc  tout notre travail va être fortement inspiré par époque.

On insiste sur ma révolution industrielle, les fumées, la ville, les usines. La lune est un élément important, on insiste plusieurs fois dessus. Que ce soit au début ou à la fin, la lune est le but de notre personnage. Tout le court se passe de nuit, avec l'éclairage de la lune je suppose.

Le héros est au début de l'histoire « un petit garçon » l'âge n'est pas donné. On sait juste que ses cheveux bougent partout et que sur ses joues il y a des tâches de rousseurs. Le garçon grandit jusqu'à la fin et il a des lunettes qui reflète la lune. Autre détail très important, il porte des ailes.

Les autres personnes du film seront des ouvriers, ils ne sont que peu décrit, juste qui sont épuisés. Sans doute à cause de la nuit avancés. On a aucune idée du nombre, peut-être assez pour remplir un fond ?

Enfin, on parle d'un oiseau qui se pose sur le personnage adulte et qui vole vers la lune quand il est gosse.

A partir de là, on va pouvoir attaquer le design de chaque élément.

Voilà – c'est tout pour aujourd'hui. Je parlerai du reste en temps voulu, mais sachez que j'aime bien écrire des articles plus longs et que pendant la création de l'oiseau, ce n'est pas le dernier article de ce genre que je vais sortir.

A plus, bande de sous-crapaud !

Votre Capitaine,

James E. Sigurd

L'oiseau, dessin préparatoire

Aujourd'hui, article assez spécial pour mon blog.

Déjà, il ne s'agit pas de bande dessiné, mais bien de court-métrage d'animation ! En effet, je suis actuellement en troisième année en fac d'art et un de nos cours parle de film d'animation, avec un professeur qui a gardé son âme d'enfance !
Nous devons rendre pour cela un court métrage d'environ une minute et je participe dans un court en temps que dessinateur. Ce projet, me prenant énormément de temps, j'ai décidé d'en parler à la place des bandes dessinés, car il faut dire que j'ai plus le temps d'en faire réellement.

J'vais donc parler des problèmes, des astuces et autres.

Le projet se nomme "L'oiseau" et parle d'un enfant qui rêve de toucher la lune. Malheureusement pour lui, chaque essai est infructueux, il voyage avec ses ailes d'oiseaux de moins en moins loin, jusqu'à tomber et ne plus pouvoir planer. Le temps passe et cet enfant devient un adulte.

L'univers se déroule à Londres lors de la révolution industrielle, pratiquement dans le steampunk. J'ai vraiment hâte de vous montrer le déroulement de mes travaux !

A bientôt !
Capitaine Sigurd !